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NBA : Jakob Poeltl prolonge avec les Raptors pour 4 ans et 104 millions – un coup de maître à Toronto

NBA : Jakob Poeltl prolonge avec les Raptors pour 4 ans et 104 millions – un coup de maître à Toronto

Jakob Poeltl prolonge à Toronto : les Raptors verrouillent leur tour de contrôle

Pas de suspense à Toronto : Jakob Poeltl reste un Raptor. Le pivot autrichien a signé une prolongation de contrat de trois saisons, en plus de son option joueur activée pour 2026-27, pour un total de quatre ans et 104 millions de dollars. Un move qui confirme la volonté de stabilité côté Raptors : et la foi renouvelée en leur big man.

Un profil solide, malgré les pépins

À 29 ans, Poeltl sort d’une saison contrastée. D’un côté, ses stats sont flatteuses : 14,5 points, 9,6 rebonds, 2,8 passes, 1,2 contre par match. De l’autre, il n’a joué que 57 matchs — des soucis physiques l’ont rattrapé pour la deuxième année consécutive. Toronto, malgré tout, a décidé de miser gros. Et sur la durée.

Un retour à la maison… version longue

Formé aux Raptors, puis parti aux Spurs dans le deal DeRozan-Kawhi, Poeltl était revenu à Toronto en 2023. Depuis, il s’est imposé comme un point d’ancrage, sur et en dehors du terrain. Son profil est rare : un pivot old-school mais malin, qui pose des écrans, distribue, défend dur. Ce n’est pas flashy, mais ça fait gagner des matchs.

Un deal cohérent pour une équipe en reconstruction

Toronto ne joue pas les premiers rôles en ce moment, mais la prolongation de Poeltl donne de la structure à un effectif jeune. Il pourra encadrer Gradey Dick, Scottie Barnes, ou encore le rookie de cette année. Et si jamais l’équipe prend une autre direction d’ici deux ans ? Son contrat, avec bonus de trade inclus, restera facilement monnayable.

En verrouillant Jakob Poeltl, les Raptors ne font pas de vagues, mais ils avancent. Ce n’est pas un move qui fait la une d’ESPN, mais c’est typiquement le genre de deal qui stabilise un vestiaire et évite les reconstructions chaotiques. Pas de star system ici, juste un pari sur la continuité. Et dans la NBA actuelle, c’est presque audacieux.

Crédit photo : Christopher Katsarov/CP

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