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Coupe du Monde des Clubs 2025 : Le Paris Saint-Germain écrase le Real Madrid 4-0 et s’envole vers la finale de la Coupe du Monde des Clubs

PSG–Real : humiliation XXL et ascension galactique au MetLife Stadium

Ce n’était pas un match, c’était une démonstration. Une leçon de football donnée par un Paris Saint-Germain incandescent à un Real Madrid méconnaissable. Score final : 4-0. Dans un MetLife Stadium chauffé à blanc, les Parisiens ont marché sur les Merengues comme on piétine un souvenir douloureux. Le genre de claque qui laisse des traces, même dans l’histoire d’un club comme Madrid. Paris, lui, file tout droit vers la finale de la Coupe du Monde des Clubs. Chelsea attend. Mais ce mercredi soir, c’est le Real qui a explosé.

Le PSG entre comme un éclair, Madrid sort comme une ombre

Six minutes. C’est le temps qu’il a fallu à Paris pour ouvrir le score. Une action confuse,  un mauvais contrôle de Raúl Asencio, une erreur grossière de Thibaut Courtois qui se troue en tentant de bloquer Dembélé, et Fabian Ruiz qui surgit pour pousser dans le but vide. Un coup de semonce ? Non, un signal d’alarme. Trois minutes plus tard, rebelote : Rüdiger cafouille sous pression, Dembélé punit. 2-0. Madrid a la tête sous l’eau, les jambes molles, le regard vide. Et Paris déroule. Sans forcer. Avec une confiance presque arrogante.

Le Real tente de respirer, mais chaque ballon est une menace. Chaque pressing, une morsure. Le PSG évolue en meute, Dembélé virevolte, Fabian distribue, et Hakimi surgit côté droit pour offrir un second but à Ruiz, son doublé de la soirée. 3-0 en 24 minutes. Le genre de score qui tue un match. Ou qui signe un chef-d’œuvre.

Le Real version Xabi Alonso : trop tendre, trop lent, trop tard

On attendait un Real revanchard, un Real bâtisseur sous les ordres d’un Xabi Alonso qui fait des merveilles depuis le banc. Ce soir, il a surtout assisté, impuissant, à sa première grosse déroute comme coach des Blancos. Les choix ? Timides. La réaction ? Tardive. Les hommes forts ? Invisibles. Pas de Vinicius, pas de Kroos, pas de magie.

À l’inverse, Paris avance avec une maîtrise glaciale. Marquinhos verrouille, Vitinha éclaire, les Parisiens jouent juste, ensemble, et avec cette touche de panache qu’on attendait depuis des années. Gonçalo Ramos, entré en fin de match, parachève le carnage après un bon travail de Barcola. 4-0. Rideau.

 

 

18-0 en élimination directe. Oui, vous avez bien lu.

Ce PSG version Luis Enrique, c’est une machine. Froidement efficace, brillamment organisée. Les chiffres le crient : cinq matchs à élimination directe dans cette Coupe du Monde des Clubs, cinq victoires, 18 buts marqués, zéro encaissé. Le genre de série qui redonne foi à ceux qui pensaient que Paris était condamné à revivre en boucle ses cauchemars de Barcelone ou Manchester.

Le Real, lui, n’avait plus encaissé trois buts en moins d’une demi-heure depuis… 2018. C’est dire. Et ce soir, il aurait pu y en avoir cinq, six, sans un Courtois retrouvé en seconde période. Mais le mal était fait. Madrid a été étouffé, dominé, humilié. Le roi d’Europe a cédé son trône dans les grandes largeurs.

Et maintenant ? Chelsea en ligne de mire, l’histoire à écrire

Dimanche, le PSG affrontera Chelsea en finale. Et si les Londoniens ont aussi impressionné dans leur demi-finale, il faudra faire bien plus que du bon football pour faire trembler ce Paris-là.

On a souvent reproché au PSG son incapacité à transformer son talent en titres. Sa propension à se saborder dans les moments-clés. Ce soir, les doutes volent en éclats. Ce groupe a changé. Ce club a grandi. Et cette victoire face au Real, c’est plus qu’un ticket pour une finale. C’est une mue.

Paris n’a pas juste gagné. Il a envoyé un message. Un de ceux qu’on n’oublie pas. Pas qu’à Madrid, mais à l’Europe et au monde entier. Et surtout à ceux qui pensaient que cette équipe ne savait que briller en septembre.

Ce PSG-là veut l’histoire. Et ce dimanche, il aura l’occasion de l’écrire.

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Auteur/autrice

  • Julien Ollivier

    Etudiant en licence AES à Paris 1 Panthéon Sorbonne, je suis passionné depuis longtemps par le sport et l’actualité sportive. Grand fan de football et de tennis, le journalisme sportif m’a toujours fais rêver. J’ai rejoint l’équipe de PenseBet en juillet 2025, en apportant mon aide dans la rédaction d’articles de news.


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