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NBA - Jayson Tatum pousse pour la venue de Damian Lillard aux Celtics

NBA – Jayson Tatum pousse pour la venue de Damian Lillard aux Celtics

Damian Lillard et Jayson Tatum : un duo inattendu en préparation ?

Dans le monde du basket, certains scénarios semblent sortis tout droit d’un film. Et parfois, la réalité s’amuse à les dépasser. Damian Lillard, sniper de génie, poète du clutch et symbole de fidélité à Portland, se retrouve aujourd’hui face à une épreuve redoutable : une rupture du tendon d’Achille. Un coup dur, peut-être même le dernier virage d’une carrière déjà riche, mais encore inachevée.

De l’autre côté, à Boston, Jayson Tatum panse lui aussi ses plaies. Même blessure, mêmes doutes. Mais entre eux, un fil invisible s’est tendu. Une amitié ancienne, respectueuse, soudée par les étés passés ensemble à bosser sur leur jeu et à rêver plus grand. Et voilà que la rumeur enfle : Tatum aimerait ramener son frère d’arme dans le vert. Pas juste pour le clin d’œil. Pour construire quelque chose.

Un pari risqué, mais savoureux

Imaginez un instant : Lillard, 36 ans, en sortie de tunnel au TD Garden, acclamé comme un vieux lion revenu à la meute. À ses côtés, Tatum, bras tatoué tendu vers le ciel, prêt à prendre le relais de l’héritage Celtics. Un duo qui claque sur le papier, et qui pourrait résonner fort sur le parquet.

Financièrement, le coup est presque trop beau pour être vrai. Milwaukee, qui lui doit encore près de 22,5 millions jusqu’en 2030, continuerait de verser le pactole pendant que Boston l’accueille pour une bouchée de pain. Une sorte de cheat code contractuel. Et si le physique suit, c’est le jackpot. Pour lui. Pour eux. Pour tout Boston.

Rééduquer le corps, ressouder les liens

Ils vont devoir réapprendre à marcher avant de courir. Mais ça, ils le savent. L’un comme l’autre, ils ne sont pas du genre à tricher avec la douleur. Ni à reculer devant les étapes.

Travailler ensemble sur leur rééducation, ce n’est pas juste une stratégie de réathlétisation. C’est un projet de reconstruction mentale. Deux All-Stars dans la même galère, qui transforment une salle de soins en laboratoire de renaissance. L’objectif ? Être prêts pour la saison 2026-2027. Pas pour faire de la figuration. Pour bousculer l’ordre établi.

Un noyau dur prêt à exploser

À Boston, la base est déjà là. Jaylen Brown en lieutenant sans filtre, Derrick White en couteau suisse toujours affûté, Hauser en sniper discret mais mortel, Pritchard en meneur malicieux qui ne baisse jamais les yeux. Et autour de ça, Tatum et, peut-être, Dame Time.

Ce mélange d’expérience, de feu sacré et de sang-froid a de quoi faire frissonner n’importe quelle franchise. Lillard n’a peut-être plus ses jambes de 25 ans, mais il garde cette capacité rare à faire basculer un match sur un shoot. Et Tatum, lui, reste dans l’ombre des plus grands, prêt à en sortir.

Les chiffres parleront… mais pas que

Oui, il faudra scruter les données. Le nombre de minutes qu’ils pourront enchaîner. Leur efficacité derrière l’arc. Leur adresse sur la ligne. Le volume de passes, de rebonds, de ballons touchés et rendus vivants.

Mais ce que les stats ne diront pas, c’est l’alchimie qui pourrait naître. Le regard complice. Le respect mutuel. Et cette envie commune de revenir pour tout casser. Ce duo-là, s’il prend forme, ne sera pas seulement une affaire de chiffres. Ce sera une question de vibe, de culture, d’héritage.

Un épilogue à écrire en vert

Tatum n’a jamais caché son ambition de ramener une bannière au plafond du Garden. Lillard, lui, n’a jamais eu l’équipe pour aller jusqu’au bout. Et s’ils se retrouvaient pile au bon moment ? Pas pour un one-shot marketing. Pour écrire un dernier chapitre avec du cœur, du jeu, du panache.

Les Celtics ont déjà l’ADN du champion. Il ne leur manque peut-être qu’un catalyseur. Un grain de folie maîtrisée. Une étincelle qui vient du passé, mais qui pourrait illuminer le futur. Et si cette étincelle s’appelait Damian Lillard ?

Parce que dans cette NBA où tout peut arriver, le vrai luxe, c’est de rêver. Et Boston, cette saison, pourrait bien rêver en deux temps : celui de Tatum… et celui de Dame.

Crédit photo : Fernando Medina/NBAE via Getty Images

Auteur/autrice

  • Pierre Boulben

    Ancien journaliste sportif passé par L’Équipe et ESPN, passionné de football, de tennis et de sport en général, je dirige depuis deux ans la rédaction de PenseBet. J’y supervise les articles de tendances, les analyses statistiques sur les grandes ligues sportives, ainsi que la couverture de l’actualité au quotidien.


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