- 1 Euro 2025 : Un tournoi qui bouscule la hiérarchie mondiale
- 2 La Turquie, l’électrochoc inattendu
- 3 Les États-Unis intouchables, mais un trône surveillé
- 4 Les nations qui grattent des places
- 5 Les géants qui tombent
- 6 La France sous pression
- 7 Les champions continentaux au rendez-vous
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Euro 2025 : Un tournoi qui bouscule la hiérarchie mondiale
Rideau sur l’Euro 2025, mais impossible de simplement tourner la page. Ce tournoi a fait trembler l’ordre établi, redessiné le classement mondial et confirmé que le basket européen est plus imprévisible que jamais. Des révélations, des chutes inattendues et des bonds spectaculaires : rarement une compétition continentale aura eu un tel impact sur l’équilibre planétaire du jeu.
La Turquie, l’électrochoc inattendu
Si une équipe devait symboliser cet Euro, c’est bien la Turquie. Tombeuse de l’Allemagne, elle a frappé fort, très fort, au point de grimper de 15 places au ranking FIBA. Douzième mondiale désormais, la Turquie n’a pas seulement gagné des matchs : elle a gagné une légitimité. Ce bond n’est pas anecdotique, il raconte une nation qui retrouve ses armes et annonce qu’elle ne viendra plus jamais en figurante.
Les États-Unis intouchables, mais un trône surveillé
De l’autre côté de l’Atlantique, les États-Unis regardent tout ça de loin. Leader mondial incontesté, l’équipe US reste sur son trône malgré une simple médaille de bronze à l’AmeriCup. Mais derrière, ça bouge. La Serbie, sortie prématurément dès les huitièmes, a perdu son statut de dauphin. Un nouveau numéro deux émerge, preuve que même si l’Amérique garde de l’avance, le peloton mondial se rapproche à grandes foulées.
Les nations qui grattent des places
L’Euro n’a pas seulement profité aux gros bras. La Finlande et la Géorgie continuent leur progression, installées respectivement à la 17e et la 20e place. Des résultats qui traduisent une dynamique claire : de plus en plus de nations européennes osent, surprennent et posent des problèmes aux traditionnels cadors. La profondeur du basket continental n’a jamais semblé aussi riche.
Les géants qui tombent
Mais qui dit révélations dit aussi désillusions. La Serbie, pourtant référence mondiale, s’est effondrée bien trop tôt. Et que dire de l’Espagne>, championne de l’Euro 2022, sortie dès les poules et reléguée de deux places ? Ces échecs rappellent qu’en Europe, rien n’est acquis et que même les plus grandes puissances peuvent se retrouver balayées en quelques jours.
La France sous pression
Pour les Bleus, le constat est plus nuancé. La France garde sa quatrième place mondiale, mais elle sent le souffle brûlant du Canadadans son dos. La marge est mince, et les prochaines fenêtres internationales pourraient être décisives. Si les ambitions françaises veulent rester crédibles, il faudra afficher plus de constance et surtout ne pas céder du terrain face à la montée en puissance nord-américaine.
Les champions continentaux au rendez-vous
À l’échelle globale, les champions continentaux confirment leur statut. L’Angola en Afrique, le en Amériques et l’Australie en Asie ont tous profité de leurs sacres pour grimper dans le classement. Pas de révolution de palais ici, mais la confirmation que ces nations restent les patrons de leur zone et de véritables menaces à l’international.
En somme, l’Euro 2025 n’a pas été un simple tournoi. Il a été un séisme dont les répliques se feront sentir jusqu’aux prochains Mondiaux et Jeux Olympiques. Entre la Turquie qui surgit, la Serbie et l’Espagne qui vacillent, et la France qui sent la pression monter, le basket mondial entre dans une ère où plus rien n’est figé.
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