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F1: Roscoe, le chien de Lewis Hamilton s'est éteint

F1: Roscoe, le chien de Lewis Hamilton s’est éteint

Un compagnon devenu symbole

Ce n’était pas juste un bulldog anglais. Roscoe, le fidèle compagnon de Lewis Hamilton, était une figure à part entière du paddock. Lunettes de soleil sur le museau, démarche nonchalante au milieu des stands, il avait ce truc qui faisait sourire autant les fans que les ingénieurs sous pression. Dimanche, Hamilton a annoncé la mort de son « meilleur ami », et c’est toute une partie de sa vie qui s’en est allée.

Pour le septuple champion du monde, Roscoe n’était pas un simple animal de compagnie. C’était un allié dans les moments de doute, une présence silencieuse quand le bruit des moteurs et des polémiques devenait trop fort. Le Britannique l’emmenait partout : sur les circuits, en voyages, dans les hôtels les plus luxueux du calendrier. Roscoe était un morceau d’intimité devenu personnage public, presque une mascotte officieuse de la Formule 1 moderne.

L’autre visage de Hamilton

À travers Roscoe, on découvrait une facette différente du pilote. Moins armure, plus vulnérable. Hamilton, souvent critiqué pour son style extravagant ou ses prises de position, trouvait dans ce chien une manière de désarmer les regards. Derrière le champion hypermédiatisé, il y avait un maître qui s’agenouillait pour gratter les oreilles de son bulldog. Une tendresse universelle qui parlait à tout le monde.

Et puis il y avait ce ton humoristique. Roscoe avait son propre compte Instagram, suivi par des centaines de milliers de personnes. On le voyait poser comme une star, dormir comme un roi, ou « commenter » les victoires de son maître. Au fil des années, il était devenu plus qu’un animal : une passerelle entre la légende Hamilton et ses fans.

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Un vide difficile à combler

La nouvelle de sa disparition laisse un vide particulier. Dans un univers où tout va à 300 km/h, Roscoe incarnait la constance, la loyauté, l’ancrage. Pour Hamilton, souvent seul face aux tempêtes médiatiques et sportives, c’était le regard rassurant qui ne juge pas, qui ne demande rien d’autre qu’un peu de temps et d’affection.

Lui qui n’a jamais caché ses blessures intimes perd un repère majeur. Et il le sait : on ne remplace pas ce genre de lien. Pas quand on parle de celui qu’il appelait son « meilleur ami ».

Un dernier hommage

Sur les réseaux, le pilote a partagé sa peine avec des mots simples, touchants, sincères. Les réactions ont afflué de partout, des fans comme de ses rivaux. Parce que Roscoe, finalement, appartenait un peu à tout le monde. On le voyait autant que certains mécaniciens, il faisait partie du décor, comme une respiration dans l’intensité folle de la F1.

Il restera l’image d’un bulldog au pas tranquille, arpentant les paddocks du monde entier avec la nonchalance des vrais seigneurs. Un compagnon qui aura traversé une décennie de gloire aux côtés d’un des plus grands champions de l’histoire. Et pour Lewis Hamilton, plus que n’importe quel trophée, c’était sans doute la plus belle des victoires : avoir eu Roscoe à ses côtés jusqu’au bout.

Auteur/autrice

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    Fondateur du Média basket Time_Out_fr sur les réseaux sociaux, j’écris également pour le site LeRoster depuis 2024 tout en participant à l’aventure PenseBet depuis 2025 afin de couvrir le plus possible l’actualité de ce sport.


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