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Coupe du Monde des Clubs : Trump voulait faire partie de la fête de Chelsea, affirme James

Coupe du Monde des Clubs : Trump voulait faire partie de la fête de Chelsea, affirme James

Triomphe de Chelsea en Coupe du monde des clubs : une victoire éclatante et une présence inattendue

Ce n’était pas juste un match. C’était une démonstration. Une signature. Une claque envoyée à l’Europe entière depuis le MetLife Stadium de New York, là où Chelsea a écrasé le PSG 3-0 pour soulever la Coupe du monde des clubs. Une finale sans bavure, rythmée par l’élégance de Cole Palmer, l’efficacité clinique de Joao Pedro et un collectif parfaitement huilé. Le genre de soirée qui s’écrit en lettres capitales dans les livres d’histoire du football. Et comme si ce n’était pas assez surréaliste, Donald Trump était là. En costume, en coulisses… puis sur scène.

Chelsea ne fait plus que gagner. Il impose.

Un club anglais à part

C’est un chiffre qui pèse : Chelsea est désormais le premier club anglais à remporter deux éditions de la Coupe du monde des clubs, nouvelle et ancienne version confondues. Un exploit. Une rareté. Et une preuve de plus que, malgré les crises internes, les entraîneurs qui valsent et les feuilletons médiatiques, le club londonien continue de capitaliser sur son ADN : être là quand ça compte.

Ce 3-0 vient s’ajouter à une collection de victoires marquantes en finale. Newcastle en 1955 (Community Shield, 3-0), Arsenal en 2019 (Europa League, 4-1), le Betis en 2025 (Conference League, 4-1). Chelsea ne gagne pas. Il terrasse.

Quand la politique s’invite dans le foot

Il aurait pu rester dans sa loge. Il aurait pu quitter le stade à la fin du match. Mais non. Donald Trump a voulu descendre sur la pelouse, là où ça se passait vraiment. Là où le trophée brillait sous les projecteurs. L’ancien président américain, figure clivante s’il en est, s’est planté à côté de Reece James, bras croisés, sourire figé. Comme s’il faisait partie de l’effectif.

Et il ne s’est pas contenté de serrer des mains. Il a tenu à rester pendant toute la remise du trophée. Reece James, un brin surpris, a livré une anecdote lunaire après coup : “On m’a dit qu’il allait monter, donner le prix et repartir. En réalité, il voulait rester. Honnêtement, c’était un peu intense.”

Une image folle. Un moment surréaliste. Un ancien président qui s’incruste dans la fête d’un club londonien. On a vu plus classique.

Palmer et Pedro, les couteaux affûtés

Sur le terrain, c’est Chelsea qui a dicté le tempo. Dès les premiers instants, le ballon circulait vite, précis, presque insolent. Le PSG n’a jamais trouvé la clé. Et à la 24e minute, Cole Palmer a fait ce qu’il fait de mieux : contrôler le chaos. Une frappe sèche, pure, qui trompe Donnarumma sans appel.

Juste avant la pause, Joao Pedro a doublé la mise d’un plat du pied aussi tranquille que meurtrier. Et le troisième but ? Un contre supersonique orchestré par Gallagher, conclu par une Madueke en feu.

Chaque but était une balafre. Une preuve que ce Chelsea version 2025 n’a rien à envier aux mastodontes européens.

Une finale, un message

Depuis 2013, Chelsea n’a jamais perdu une seule finale internationale en dehors des Supercoupes. Un record que peu de clubs peuvent revendiquer. Peu importe l’adversaire, peu importe la scène, Chelsea trouve un moyen de finir debout. Et souvent, bras levés.

Cette régularité dit tout. Elle parle d’un club qui sait se réinventer. Qui sait encaisser. Mais surtout, qui sait gagner quand le moment est venu. Peu de vestiaires en Europe dégagent cette mentalité aujourd’hui. Celui de Chelsea, oui.

Une soirée à la hauteur de son chaos

C’était une finale pour l’Histoire, mais aussi pour les anecdotes. Outre la présence improbable de Trump, c’est toute la soirée qui a pris des allures de script hollywoodien. Une domination technique, une ambiance survoltée, un président en quête d’exposition, et un capitaine partagé entre euphorie et confusion.

Reece James ne l’a pas dit clairement, mais ses mots trahissaient le fond de sa pensée. “C’était intense“, oui. Peut-être trop. Mais le brassard, lui, est resté bien accroché. Et le trophée aussi.

Chelsea, de retour au sommet

Cette victoire est plus qu’un titre. C’est un signal. Une affirmation. Chelsea ne veut plus faire partie du décor. Il veut être l’affiche. Gagner, convaincre, et surtout, dominer. Et avec des jeunes comme Palmer, Pedro, Madueke ou Gallagher, le futur s’écrit en bleu foncé.

Les supporters peuvent rêver. Le club, lui, a déjà les deux pieds dans l’action. Et quand Chelsea lève une coupe, une chose est sûre : ce n’est jamais par hasard.

Crédit photo : Jacquelyn Martin/AP Photo

Auteur/autrice

  • Julien Ollivier

    Etudiant en licence AES à Paris 1 Panthéon Sorbonne, je suis passionné depuis longtemps par le sport et l’actualité sportive. Grand fan de football et de tennis, le journalisme sportif m’a toujours fais rêver. J’ai rejoint l’équipe de PenseBet en juillet 2025, en apportant mon aide dans la rédaction d’articles de news.


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