Les Bleus entrent dans la danse : premier test face à la Belgique
Enfin, on y est. Ce jeudi après-midi, l’Équipe de France ouvre son EuroBasket 2025 contre la Belgique. Un match qui sent la poudre, non pas parce que l’adversaire est favori, mais parce qu’il incarne toujours ce piège sournois : celui d’un premier rendez-vous à ne surtout pas rater. Les Bleus débarquent avec de l’ambition, un nouveau capitaine, des blessures à gérer, et une certitude en tête : chaque possession comptera.
Une entame qui vaut plus que des points
L’EuroBasket n’attend jamais. Le premier match, c’est le ton qui se donne. On le gagne, et on envoie un message : “On est là, solides, prêts pour le marathon”. On le perd, et tout le reste de la compétition se joue avec ce caillou dans la chaussure, cette pression supplémentaire qui ronge les nerfs. Les Bleus le savent. Alors cet après-midi, pas question de se chercher des excuses. Il faudra entrer fort, imposer le rythme, faire sentir à la Belgique que l’affaire est sérieuse.
Yabusele, le brassard et les responsabilités
Capitaine fraîchement désigné, Guerschon Yabusele s’avance comme le visage de ce nouveau cycle. L’énergie qu’il transmet est contagieuse, son importance dans le vestiaire indiscutable. Aujourd’hui, il doit assumer ce rôle sur le parquet, montrer que ce statut n’est pas symbolique mais bien une vraie force pour le groupe. Les regards seront braqués sur lui dès les premières minutes, et c’est dans ces moments qu’on mesure la valeur d’un leader.
La Belgique, l’adversaire parfait pour se tester
Attention à ne pas tomber dans le piège de la suffisance. La Belgique n’est pas une puissance du basket européen, mais c’est justement le genre d’équipe qui aime bousculer les hiérarchies. Collectif discipliné, gros cœur, quelques snipers capables de mettre le feu si on les laisse respirer. Ce n’est pas un géant, mais c’est un caillou pointu : si on marche dessus sans regarder, ça fait mal. Les Bleus devront imposer leur physique, défendre dur sur les extérieurs, et ne jamais lâcher le contrôle du tempo.
Un public qui attend un signal fort
Dans les tribunes comme derrière les écrans, les fans français n’attendent qu’une chose : vibrer. Le basket tricolore revient d’années où les espoirs ont trop souvent été déçus. Alors cette entrée en matière est scrutée, disséquée, presque attendue comme une déclaration d’intention. Un gros match contre la Belgique, c’est l’assurance de lancer la machine. Un faux pas, et les doutes reviendront au galop.
L’heure est venue
Cet après-midi, il n’y aura pas de place pour la retenue. Les Bleus doivent chauffer la salle, imposer leur rythme, mettre les mains sur l’EuroBasket et ce, dès le premier quart-temps. Ce n’est pas seulement un match d’ouverture, c’est le coup de starter d’une compétition où rien ne sera offert.
La Belgique est prévenue : la France a faim, et ce premier duel doit sonner comme une promesse. À partir d’aujourd’hui, chaque minute comptera. Et c’est là que l’histoire commence.
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