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Guardiola envoie donc un message à son groupe : l’exigence reste totale, même après une démonstration.

Guardiola après la victoire éclatante contre la Juventus : « Notre meilleure performance depuis longtemps. »

Manchester City écrase la Juventus à la Coupe du Monde des Clubs

Manchester City n’a pas fait dans la dentelle. Opposés à une Juventus invaincue jusque-là, les hommes de Pep Guardiola ont déroulé leur football pour s’imposer 5-2 et prendre seuls la tête du groupe G. Cinq buts, cinq buteurs différents, et une copie quasi parfaite au Camping World Stadium.

Doku lance la machine, Kalulu déraille

Le ton a été donné d’entrée. Jeremy Doku, intenable sur son aile, a ouvert le score dès la 9e minute. La Juve a réagi dans la foulée via Teun Koopmeiners, opportuniste après une erreur d’Ederson. Mais Manchester City n’a pas tardé à remettre la main sur le match : Pierre Kalulu a marqué contre son camp (26e) dans une action confuse. Dès lors, l’écart n’a cessé de se creuser.

Haaland à 300, Savinho régale

Entré après la pause, Erling Haaland a marqué sur son premier ballon ou presque. Un 300e but en carrière, toutes compétitions confondues, pour le Norvégien, qui continue d’affoler les compteurs. Phil Foden, puis Savinho sur une frappe venue d’ailleurs, ont ensuite donné une ampleur définitive au score. Vlahovic a bien réduit l’écart, mais c’était déjà trop tard.

Guardiola, l’œil qui pétille

« C’est le City que j’attendais », a soufflé Pep Guardiola après la rencontre. Une victoire qui tombe à pic après une saison 2024-25 en dents de scie. L’Espagnol a salué « l’intensité avec et sans ballon » et « l’engagement total » de ses joueurs. Signe que City retrouve le bon tempo au bon moment.

Une vieille histoire réglée

Il faut remonter à 1976 pour trouver trace d’une victoire de Manchester City contre la Juventus. Presque un demi-siècle de frustration effacé en une soirée. Et le défi ne fait que commencer : les Skyblues retrouveront en huitièmes le deuxième du groupe H, soit le Real Madrid, soit le RB Salzburg.

Bernardo Silva reste lucide

« On a bien joué, mais ce n’était qu’un match de poule. À partir de maintenant, c’est la vérité qui commence », a prévenu Bernardo Silva. Le milieu portugais appelle à la vigilance : « Ce genre de tournoi se joue sur des détails. Il faut être prêts à souffrir. »

La Juventus dépassée

Pour Igor Tudor, la claque est brutale. Avec seulement 24 % de possession et un xG famélique (0,92 contre 3,81), la Juve a été mangée dans tous les secteurs. « Manchester City est trop fort pour nous. C’est une machine », a reconnu l’entraîneur italien. L’ambition d’aller loin est toujours là, mais le message est clair : à ce niveau, la moindre erreur se paie cash.


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