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Nicolo Barella, visage grave, en maillot de l’Inter, peu après la défaite 5‑0 en finale de Ligue des Champions contre le PSG.

Inter : Barella admet que la défaite en finale de Ligue des Champions « hantera nos esprits »

Inter Milan : une claque européenne qui laisse des traces

L’Inter Milan ne s’attendait sûrement pas à sortir de Wembley avec une valise. Battus 5-0 par un PSG en fusion, les Nerazzurri ont vécu une finale de Ligue des champions cauchemardesque, la plus large défaite jamais enregistrée à ce stade de la compétition. Un choc brutal pour une équipe qui, en janvier, rêvait encore de triplé.

Un printemps qui tourne au vinaigre

Tout s’est effondré en quelques semaines. Éliminés par le Milan AC en demi-finale de la Coppa Italia, les Intéristes ont ensuite laissé filer le Scudetto pour un petit point derrière Naples. Et cette déroute en C1 a fini de noircir le tableau. Quatre défaites sur leurs cinq dernières finales européennes : seuls la Juve, Benfica et le Bayern font pire au palmarès des finales perdues.

Nicolo Barella sonne la révolte

Malgré la douleur, Barella veut croire en la résilience de son groupe : « Cette défaite fait mal, mais c’est aussi ce genre de cicatrices qui forment une équipe. On a perdu des titres, oui, mais on a aussi beaucoup gagné. Le football, c’est des hauts, des bas… et du boulot. Il faut revenir plus fort. »

Changement de cap : Chivu prend les commandes

Dans la foulée de cette finale, Simone Inzaghi a quitté le navire, direction Al-Hilal. Parti avec un titre de Serie A, deux Coppa Italia et trois Supercoupes dans les valises, il laisse la place à un visage familier : Cristian Chivu. L’ancien défenseur de l’Inter a été propulsé sur le banc principal et a signé deux premiers matchs convaincants à la Coupe du Monde des Clubs.

Chivu, la fibre humaine

Barella est déjà conquis : « Il connaît la maison. Il comprend les joueurs, il sent ce dont on a besoin. Tous les coachs n’ont pas ça. Il est direct, il est proche, et dans une période aussi tendue, c’est ce qu’il nous faut. »

Le vestiaire a peut-être pris un coup, mais l’état d’esprit reste intact. L’Inter veut se relever. Le message est clair : cette claque n’est qu’un détour. Et les Nerazzurri comptent bien écrire un nouveau chapitre — avec rage, cœur et ambition.


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