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Terry Francona célèbre sa 2 000e victoire en carrière : un cap historique pour le manager vétéran

MLB – Terry Francona franchit la barre des 2 000 victoires après le succès des Reds 4-2 face aux Rockies

2 000 victoires pour Francona : les Reds comme point d’orgue

CINCINNATI — Terry Francona n’avait pas vraiment prévu ça. Un dimanche de juillet, un match lambda contre Colorado… et le compteur qui bascule. Victoire 4-2. Deux millième. Le genre de cap qui vous classe à vie. Le tacticien des Reds devient le 13ème manager de l’histoire de la MLB à atteindre les 2000 victoires. Pas mal pour un type qui, il y a un an à peine, pensait raccrocher pour de bon.

Il rejoint un cercle où l’on croise Connie Mack, Tony La Russa, Bobby Cox, Joe Torre et Bruce Bochy, seul autre actif du lot. Dix de ces douze là sont au Hall of Fame. Les deux autres, Bochy et Dusty Baker (2 183 victoires), y entreront dès qu’ils seront éligibles. Francona ? Ce n’est plus qu’une question de temps.

La belle histoire, c’est qu’il passe ce cap à Cincinnati, là où il a joué, furtivement, en 1987. 102 matchs, .227 de moyenne, pas franchement inoubliable. Mais l’histoire aime les boucles. Avant lui, seuls Bochy, John McGraw et Bucky Harris avaient atteint les 2 000 wins avec une franchise où ils avaient joué. Pas banal.

En 24 saisons, Francona affiche un bilan de 2 000-1 719. Deux titres avec Boston (2004 et 2007, fin de la malédiction), une finale de World Series avec Cleveland en 2016, onze campagnes de playoffs. Et une constance : toujours respecté, jamais dépassé.

À Cleveland, il a laissé une trace : 921 victoires, record absolu. À Boston : 744. À Philly, où tout a commencé : 285. Première victoire le 1er avril 1997 contre les Dodgers. Sa 500e en 2007, la 1 000e en 2011, la 1 500e en 2018 contre Toronto.

Revenu aux Reds en janvier après une pause forcée (genoux, dos, fatigue générale), il affiche un 50-47 pour l’instant. Rien de flamboyant, mais le boulot est fait. “Je vais bien”, a-t-il balancé après le match. “Je commençais à perdre goût au quotidien. Fallait que ça change. Là, je me sens mieux. Et c’est plus facile d’aimer ce métier quand t’as pas mal partout.” Sobre. Comme toujours.

Crédit photo : AP

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