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MMA – Daniel Cormier révèle l’atout majeur de Jon Jones face à Tom Aspinall

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Daniel Cormier et son avis tranché sur un duel hypothétique entre Jon Jones et Tom Aspinall

Dans l’univers du MMA, il y a des affrontements qu’on rêve plus qu’on ne les voit. Et parfois, ces rêves restent à jamais coincés entre deux époques, deux carrières qui ne se croisent qu’à travers les “et si”. Jon Jones contre Tom Aspinall en fait partie. Un choc de styles, de générations, d’aura. Mais surtout un combat fantasmé, enterré avant même d’avoir existé. Daniel Cormier, lui, n’a pas pu s’empêcher d’y mettre son grain de sel. Et quand DC parle, le monde du MMA écoute.

Sur le plateau du podcast Pound 4 Pound, l’ex-double champion UFC, légende et rival éternel de Jones, a donné son point de vue sur ce duel qui affole les discussions Reddit et les forums d’aficionados. Et fidèle à lui-même, il ne s’est pas contenté de tourner autour de la cage.

“Il fallait que ça arrive”

Pour Cormier, il n’y a pas photo. Ce combat *devait* avoir lieu. Pas pour les chiffres, ni pour l’histoire. Mais parce que Jon Jones avait là l’occasion ultime de répondre à toutes les voix qui murmurent qu’il a fui.

Tom Aspinall, ce n’est pas juste une étoile montante. C’est un bulldozer technique avec un QI combat qui affole les analystes. DC ne l’a pas dit directement, mais on lit entre les lignes : Jones, en s’éloignant, a peut-être esquivé un vrai test. “Bones” aurait selon lui eu l’avantage… mais l’explique-t-il ? Non. Silence pesant. Et c’est peut-être ça, le plus révélateur.

Jones a choisi de tirer sa révérence après avoir conquis le titre poids lourds face à Ciryl Gane. Une masterclass, certes. Mais depuis, silence radio. Zéro défense de ce titre. Pendant ce temps, Aspinall, intronisé champion par intérim, a nettoyé sa section sans broncher. Et si certains y voient un passage de flambeau, d’autres y voient une fuite en douce.

Une question sans réponse, mais pas sans débat

Les fans, eux, s’en donnent à cœur joie. Sur X, dans les threads, dans les bars ou les salles de sport, le débat fait rage. L’expérience clinique de Jon Jones face à l’explosivité du Britannique. Le fight IQ millimétré de Bones contre l’instinct félin d’Aspinall.

Les camps sont tranchés. Les anciens parlent du palmarès de Jones comme d’un héritage sacré, gravé dans la pierre. Les jeunes voient en Aspinall la nouvelle vague qui aurait pu tout balayer, y compris la légende.

Et Daniel Cormier, là-dedans, c’est le juge de paix. Il a affronté Jones, il sait ce que ça coûte. Il a aussi analysé Aspinall, avec ce regard d’ancien combattant devenu analyste. Quand il dit que ce combat aurait dû avoir lieu, ce n’est pas une suggestion. C’est une forme de regret. Peut-être même une pique. À Jones ? À l’UFC ? À ce sport qui parfois nous prive de ce qu’on attend le plus ?

Jon Jones, l’héritage en pointillés

La vérité, c’est que Jon Jones ne doit rien à personne. Il a tout gagné. Il a défendu, conquis, dominé. Il a traversé des tempêtes, fait face à des scandales, et il est toujours resté au sommet.

Mais cette fin de carrière laisse un arrière-goût étrange. Comme une symphonie interrompue juste avant le final. Pas de guerre contre Stipe Miocic. Pas de duel face au phénomène Aspinall. Juste un titre gagné et un rideau qui tombe.

Tom Aspinall, lui, hérite d’une ceinture lourde à porter. Il n’a pas battu Jones, mais il porte déjà le poids des comparaisons. Il est fort, spectaculaire, mature. Mais tant que cette case “Jon Jones” ne sera pas cochée, les sceptiques resteront sceptiques. C’est injuste, peut-être. Mais c’est le jeu.

Et maintenant ?

Cormier a peut-être ouvert une brèche. Un Jones vs Aspinall, même en fiction, fait encore saliver. Ce n’est pas juste un combat. C’est un “what if” devenu mythologie instantanée. Et dans ce sport où tout va trop vite, ce genre d’histoire a la peau dure.

Alors on débattra encore. On refera le combat dans nos têtes. On s’inventera des scénarios, des rounds imaginaires, des finishs spectaculaires. Et on écoutera, encore et toujours, les voix comme celle de Cormier. Parce qu’elles ont combattu, observé, compris. Et parce qu’au fond, elles posent la question que tout le monde se pose :

Et si Jon Jones était resté un peu plus longtemps ?

—– WWE

Auteur/autrice

  • Pierre Boulben

    Ancien journaliste sportif passé par L’Équipe et ESPN, passionné de football, de tennis et de sport en général, je dirige depuis deux ans la rédaction de PenseBet. J’y supervise les articles de tendances, les analyses statistiques sur les grandes ligues sportives, ainsi que la couverture de l’actualité au quotidien.


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