Adidas x Anthony Edwards : une paire qui claque aussi fort que ses dunks
Anthony Edwards ne fait pas dans la discrétion. Sur le parquet, il envoie des tomars à faire trembler les arceaux. Et côté sneakers, c’est la même énergie. Sa chaussure signature, la A.E. 1, continue de tracer sa route avec assurance. Dernier coup d’éclat en date : une version Low ultra flashy baptisée « Preloved Lime ». Un nom qui claque, une couleur qui éclate. Le message est clair : Edwards et Adidas veulent briller. Littéralement.
Une silhouette qui en impose
Le vert citron domine la tige, contrebalancé par des touches noires bien placées. Le logo d’Anthony trône fièrement sur la languette, celui d’Adidas s’impose sur le talon dans un vert plus dense. Visuellement, c’est du lourd. Et sur le terrain, ça suit : la A.E. 1 Low mise sur la légèreté et la mobilité sans sacrifier la stabilité. À 110 euros, elle s’impose comme une option sérieuse pour ceux qui veulent allier style et perf’ sans vendre un rein.
Une ligne signature qui trouve sa voix
Quand Adidas a décidé de miser sur Anthony Edwards pour une ligne signature, certains ont levé un sourcil. Pas encore MVP, pas encore en Finales… Mais la marque aux trois bandes a flairé le potentiel. Et elle a bien fait. La A.E. 1 est taillée pour le jeu explosif du loup des Wolves : semelle réactive, maintien précis, amorti dynamique. Une chaussure qui ne fait pas semblant, et qui colle parfaitement à l’attitude d’Edwards.
Du parquet à la rue, sans transition
Mais ce qui propulse vraiment la A.E. 1 au-dessus du lot, c’est son design. Des lignes futuristes, des courbes sculptées, un vrai parti pris visuel qui casse les codes habituels. Résultat : la paire s’arrache autant chez les jeunes joueurs que chez les fans de streetwear. Elle matche avec un short comme avec un jean loose, et ça, c’est le genre de détail qui compte en 2025.
Un coup gagnant pour Adidas
Pas besoin d’un contrat à 200 millions pour créer un classique. Avec la A.E. 1, Adidas a trouvé la bonne formule : une star montante, une silhouette forte, un prix accessible. Et surtout, une vraie cohérence entre le joueur et sa chaussure. Chaque coloris raconte quelque chose, chaque sortie crée l’attente. Et ce “Preloved Lime”, déjà le onzième de la gamme, enfonce encore un peu plus le clou.
Clairement, la collab entre Anthony Edwards et Adidas est en train de s’installer durablement dans le paysage. Elle ne fait pas que suivre la tendance, elle l’impose. Et quand on voit la suite qui se profile pour Edwards sur les parquets, on se dit que cette paire n’a pas fini de briller.
Crédit photo : AP Photo/Craig Mitchelldyer
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