Une mène confortable, un scénario qui bascule
Les Wolves semblaient avoir la victoire en main à 1 minute de la fin (devant de +8 points…). Ils sont devant, solides, avec le momentum à eux. Puis tout bascule. En quelques possessions mal négociées, Phoenix reprend espoir, creuse sa stratégie, et met la pression.
COLLIN GILLESPIE WINS IT FOR THE SUNS IN THE FINAL SECONDS!!!
ENDED THE GAME ON A 9-0 RUN.
PHOENIX MOVES TO 2-0 IN WEST GROUP A 🔥 pic.twitter.com/4MoPXWx4fp
— NBA (@NBA) November 22, 2025
Le réveil des Suns et le trou noir de Minnesota
Les Suns signent un run éclaire dans le money-time. Ils arrachent le score à 113-112 avec 21,4 secondes restantes. Du côté des Wolves ça déraille. Ils ratent des lancers cruciaux. Collin Gillespie, jusqu’alors discret dans l’histoire du match, surgit et plante le tir décisif avec 6,4 secondes au compteur.
Quand l’effort individuel ne suffit pas
Anthony Edwards porte son équipe, finit avec 41 points. Mais ce soir ne lui suffit pas. Le collectif craque dans les instants clés. Il n’y a pas de héros pour verrouiller la fin. Ils dominent le match mais lui échappent à quelques secondes près.
Un revers qui marque les esprits
Ce match-ci va rester en travers de la gorge des Wolves. Gérer une +8 ou même +7 dans la dernière minute semble faisable, mais quand ça s’écroule, ça laisse des traces.
La confiance ébranlée se lit dans les vestiaires, elle se lira dans le prochain programme. Les Suns, eux, respirent la résilience, celle d’une équipe capable de gratter une victoire quand tout semble perdu.
Ce que ce match dit des Wolves
Ils ont les talents, ils ont les armes. Mais le clutch, ce sont les moments où tout se joue. Ce soir, ils n’ont pas su verrouiller la fin, pas su mettre le verrou. Pour une équipe qui veut jouer les premiers rôles, des fins comme celle-ci servent de leçon brute. Le talent seul ne suffit pas, la stratégie mentale et collective compte aussi.



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