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NFL : Bad Bunny au SuperBowl 2026 !

NFL : Bad Bunny au SuperBowl 2026 !

Le show qui change tout : Bad Bunny au Super Bowl 2026

Il n’y avait plus guère de mystère : Bad Bunny sera au cœur du spectacle de la mi-temps du Super Bowl LX, le 8 février 2026, au Levi’s Stadium de Santa Clara, Californie.
Le monde du sport et de la pop s’attend désormais à quelque chose de plus qu’un simple concert, un moment culturel, un tremblement de terre musical.

Mais que pourrait bien donner cette performance sur la plus grande scène américaine ? Essayons de l’imaginer, note par note, ambition par ambition.

Un héritage déjà inscrit dans l’histoire

Bad Bunny connaît déjà le Super Bowl. En 2020, il avait fait une apparition marquante lors du show de Shakira / J Lo, livrant un fragment de I Like It.

Cette fois, il s’avance en tête d’affiche. L’annonce a été faite par la NFL, Apple Music et Roc Nation, qui produiront l’édition 2026.
Pour lui, c’est une déclaration : “C’est pour mon peuple, ma culture, notre histoire.”

Mais Bad Bunny n’arrive pas sans bagages. Son dernier album Debí Tirar Más Fotos a déjà marqué les esprits, et sa tournée mondiale prévue en 2025-2026 promet d’être massive.

Il a aussi pris position politiquement : il a précédemment indiqué qu’il n’organiserait pas de concerts aux États-Unis, évoquant des risques liés à la présence de l’agence ICE près des salles.

Le contraste entre ce refus de tournée US et cette performance au Super Bowl nourrit d’ores et déjà les débats.
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Ces tensions donnent à l’événement une dimension plus grande que la musique : c’est un point de convergence entre culture latino, revendication et spectacle global.

Comment pourrait se dérouler le set

Tout commence dans l’obscurité. Un battement low tempo, des percussions trap, une intro dramatique en espagnol, le public sent monter le suspense. Puis, le premier tube éclate, projeté en hologrammes, lumières rouges et or, danseurs entourant la scène centrale.

Il pourrait lancer avec Provenza ou Titi Me Preguntó, les hymnes que tout le monde connaît déjà, pour installer une connexion immédiate. Ensuite, un détour vers ses morceaux plus sombres ou introspectifs, pour rappeler qu’il n’est pas juste le chanteur festif : il est aussi conteur d’âmes. Il pourrait inviter des collaborations surprises — un rappeur latino, une diva pop, ou même des légendes du reggaeton, pour faire vibrer les styles.

Sur le plan visuel, on peut imaginer des transitions entre scènes : une forêt urbaine, des graphiques rappelant l’histoire portoricaine, des motifs de trïbus et de mer, des projections de visages de migrants, de souvenirs de sa terre natale. Le tout avec des séquences chorégraphiées, des acrobaties et des moments calmes, contrastés, pour faire respirer le spectacle.

Pour le final, un barrage de tubes : Me Porto Bonito, Ojitos Lindos, La Canción, poussés à leur apogée avec un crescendo lumineux, confettis, feux d’artifice, un final qui explose, laissant le stade en transe.

Les défis et les attentes

Le super-show de la mi-temps du Super Bowl est devenu un étalon. L’an dernier, Kendrick Lamar a empilé les invités (SZA, Samuel L. Jackson, Serena Williams…) avec des déclarations fortes et un set surveillé sous tous les angles.
Ce type d’envergure, Bad Bunny devra le dépasser ou le réinventer.

Le défi principal sera l’équilibre entre spectacle global et authenticité artistique. Il ne suffira pas d’enchaîner les hits : le public veut sentir l’âme. Il faudra éviter l’écueil du show trop américain ou trop superficiel. Son identité latine doit rester au centre. Si des messages politiques ou sociaux s’invitent, ce serait logique, ils devront être dosés, marqués, mais intégrés dans le flow du show.

Il devra aussi composer avec la barrière linguistique. Beaucoup de spectateurs ne parlent pas espagnol. Mais Bad Bunny maîtrise l’art de la mélodie et du rythme, ses hits transcendent la langue. S’il choisit des refrains bilingues ou des ponts en anglais, ça pourrait maximiser l’impact.

Enfin, il y a la logistique : mise en scène, technologie immersive, gestion des passages entre séquences. Le temps est limité — tout doit être fluide.

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Un moment culturel, pas juste un concert

Quand Bad Bunny montera sur la scène du Super Bowl, il ne sera pas seulement là pour chanter — il sera à l’intersection de la musique, de l’identité latino, du sport, de la culture globale. Son show sera scruté à la fois par les amateurs de foot américains, les fans de musique, les médias culturels du monde entier.

Si tout se déroule bien, ce sera plus qu’une performance : ce sera une déclaration. Une marque dans l’histoire. Un instant où l’Amérique devra écouter, danser, ressentir, comprendre. Le monde entier pourrait regarder, mais c’est Puerto Rico, c’est l’Amérique latine, c’est l’identité hispanique, qui pourrait parler avec force devant des centaines de millions de spectateurs.

Alors oui, les attentes sont gigantesques. Si Bad Bunny réussit ce pari — musical, visuel, politique — il transformera cette mi-temps en point de rupture, un moment qu’on n’oubliera pas. Si on doit le parier : ce show sera appelé « historique ».

Auteur/autrice

  • NFL : Bad Bunny au SuperBowl 2026 !

    Fondateur du Média basket Time_Out_fr sur les réseaux sociaux, j’écris également pour le site LeRoster depuis 2024 tout en participant à l’aventure PenseBet depuis 2025 afin de couvrir le plus possible l’actualité de ce sport.


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