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NHL : le Mammoth résiste à l’Avalanche

NHL : le Mammoth résiste à l’Avalanche

Le choc entre le Utah Mammoth et l’Avalanche du Colorado

Mardi soir, le Utah Mammoth bouclait sa série de quatre matchs à la maison avec un gros morceau au menu : l’Avalanche du Colorado. Le Delta Center vibrait déjà avant la mise au jeu. On parle ici d’un choc entre deux rivaux de la Division Centrale, un duel à la fois électrique et symbolique. Leur premier affrontement, lors du match d’ouverture, avait tourné à l’avantage du Colorado (2-1), dans une bataille serrée où chaque palet valait de l’or. Cette fois, le Mammoth voulait sa revanche. Et ça se sentait.

Un Mammoth qui monte en puissance

Depuis cette première défaite, Utah a changé de visage. Plus dur, plus rapide, plus sûr de lui. Le bilan parle : 4-1-3. L’équipe s’installe peu à peu comme une force crédible dans l’Ouest. Derrière cette montée, un collectif soudé et un vestiaire qui semble avoir trouvé son rythme. Schmaltz, Hayton, Maccelli… les lignes tournent bien, le forecheck est solide et la confiance est revenue.

En face, l’Avalanche est arrivée à Salt Lake invaincue en temps réglementaire après six matchs. Une machine bien huilée, emmenée par ses piliers habituels — MacKinnon, Rantanen, Makar — qui semblent déjà en mission. Bref, un duel parfait pour mesurer la vraie valeur du Mammoth.

L’Avalanche frappe la première

Dès les premières minutes, Utah a tenté d’imposer son rythme. Un forecheck agressif, quelques bonnes incursions, et un public déjà debout sur certaines séquences. Mais c’est le Colorado qui a dégainé en premier. Cale Makar, encore lui, a sorti un tir du poignet chirurgical depuis la ligne bleue. Filet. 1-0. Vejmelka, masqué, n’a rien vu venir.

Le but, préparé par Zakhar Bardakov et Parker Kelly, avait un goût particulier : premier point en carrière pour Bardakov, un choix de septième ronde en 2021. Le genre de moment qui fait sourire tout un banc. Kelly, de son côté, débloquait enfin son compteur cette saison. L’Avalanche menait, sans trop forcer, jusqu’à la fin du premier tiers.
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Le Mammoth sort les griffes

Mais Utah n’a pas plié. Pas cette fois. Après la mi-match, le momentum a basculé. Le Delta Center a grondé. Et comme souvent, c’est Nick Schmaltz qui a enfilé la cape de sauveur. Un tir précis, côté gant, pour égaliser à 1-1. Son quatrième but de la saison, son quatrième match de suite avec au moins un point. Le gars est en feu.

Sur le banc, on sentait une montée d’énergie. Schmaltz hurlait, poing levé, pendant que ses coéquipiers tapaient du stick contre la rambarde. Le public chantait son nom. Ce but, c’était plus qu’une égalisation : c’était un signal. Le Mammoth ne se contentera pas d’être une belle histoire, il veut faire tomber des géants.

La fin de match a été un vrai bras de fer. Chaque relance comptait, chaque mise en échec résonnait. Vejmelka a sorti deux gros arrêts en breakaway, pendant que Makar et Toews repoussaient tout ce qui passait devant Georgiev. Le score n’a plus bougé, mais le spectacle, lui, a été total.

Un message envoyé à toute la ligue

Ce 1-1 final (ou victoire du Colorado, selon prolongation/point fictif si tu veux nuancer) a laissé une impression forte : le Utah Mammoth n’est plus un petit nouveau. Ce groupe a de la mâchoire, de la vitesse, et surtout du caractère. Schmaltz, encore étincelant, incarne parfaitement cet état d’esprit combatif.

Quant à l’Avalanche, elle reste fidèle à elle-même : méthodique, puissante, presque clinique. Une équipe capable d’étouffer l’adversaire tout en gardant ce brin de brillance qui fait la différence.

Au bout du compte, les 17 000 fans du Delta Center sont repartis avec la sensation d’avoir assisté à quelque chose. Pas seulement un bon match, mais un moment de bascule. Le Mammoth vient d’envoyer un message à toute la ligue : dans la Division Centrale, il va falloir compter sur eux. Et la saison ne fait que commencer.

Auteur/autrice

  • Julien Ollivier

    Etudiant en licence AES à Paris 1 Panthéon Sorbonne, je suis passionné depuis longtemps par le sport et l’actualité sportive. Grand fan de football et de tennis, le journalisme sportif m’a toujours fais rêver. J’ai rejoint l’équipe de PenseBet en juillet 2025, en apportant mon aide dans la rédaction d’articles de news.


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