- 1 Et si King Lebron redevenait accessible ? Cavs, Mavs et Knicks en embuscade
- 2 Le contrat en or massif et la clause qui change tout
- 3 LeBron, toujours au sommet… à 40 ans
- 4 Cleveland : l’éternel retour ?
- 5 Dallas : le scénario le plus sexy ?
- 6 New York : l’Empire attend son Roi
- 7 LeBron, maître de son destin
- 8 En attendant, tout le monde retient son souffle
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Et si King Lebron redevenait accessible ? Cavs, Mavs et Knicks en embuscade
Trois franchises. Trois villes. Trois projets différentes, mais une obsession commune : LeBron James. Cleveland, Dallas, New York. Chacune guette. Espère. Anticipe l’improbable. Car si les Lakers devaient un jour appuyer sur le bouton rouge, celui du rachat de contrat, alors là, la NBA exploserait en plein vol.
À l’heure actuelle, c’est de la spéculation. Mais ce genre de rumeur, dans la planète NBA, agit comme un cocktail Molotov dans une station-service. Et celle-ci a de quoi allumer des incendies. Car oui, LeBron pourrait techniquement devenir libre. Un buyout, c’est rare à ce niveau. C’est sale, souvent humiliant pour la franchise, mais dans certains cas… stratégique.
Le contrat en or massif et la clause qui change tout
LeBron James est sous contrat avec les Lakers pour 52,6 millions de dollars sur la saison à venir. Pas un penny de moins. Et il dispose d’une clause de non-échange. Traduction : personne ne peut le bouger sans son feu vert. Il tient les rênes. C’est son royaume.
Un trade ? Hautement improbable. Aucune des trois équipes concernées n’a la flexibilité ou les assets pour monter une opération viable. Mais un rachat, lui, renverse la table. Ce serait brutal pour L.A., bien sûr. Une façon de tirer un trait sur l’ère LeBron, sans parade ni confettis. Mais pour Cleveland, Dallas ou New York, ce serait une ouverture inespérée. Un appel d’air. Un coup de tonnerre.
LeBron, toujours au sommet… à 40 ans
Il aura 41 ans en décembre. Et pourtant, il continue à coller des vertiges aux défenseurs comme s’il en avait 28. L’an dernier ? All-NBA Second Team, sixième au classement MVP, et des stats qui feraient rougir 90 % de la ligue : 24,4 points, 7,8 rebonds, 8,2 passes. Tranquille. Implacable. Toujours là !
LeBron James est peut-être vieux. Mais il est surtout historique. Et le genre de joueur qui, même en bout de course, peut encore faire basculer une franchise.
Cleveland : l’éternel retour ?
Chez les Cavs, le cœur n’a jamais guéri. LeBron, c’est la légende vivante. Deux passages, un titre légendaire en 2016, et un héritage qui dépasse les parquets. Un dernier run ? Ce serait hollywoodien. Et la ville, déjà bouillante, serait prête à remettre la bague sur le doigt du Roi.
Mais le projet sportif reste flou. La sortie face aux Pacers au second tour a laissé des traces. Donovan Mitchell est prolongé, certes, mais le roster ne crie pas “contender”. Encore moins à l’Est, où Boston et Milwaukee verrouillent les sommets.
Dallas : le scénario le plus sexy ?
Là, on parle. Dallas, c’est la rumeur qui grimpe, qui chauffe, qui enfle. Pourquoi ? Kyrie Irving, Jason Kidd, Phil Handy, Anthony Davis dans le viseur… les connexions sont partout. C’est un peu comme si la franchise mettait les pions en place, au cas où.
Et surtout, Luka Doncic a besoin d’un boost. Après la désillusion post-Finales 2024, les Mavs ont raté les playoffs cette saison. C’est frustrant, c’est inexplicable, et ça met la pression. Ajouter LeBron, même pour une ou deux saisons ? C’est peut-être la pièce manquante. Celle qui lie le présent au futur.
New York : l’Empire attend son Roi
Et puis il y a les Knicks. Toujours sur le fil entre ambition démesurée et réalité brutale. Mais cette fois, le scénario n’est pas si absurde. Leon Rose était l’agent de LeBron. Mike Brown l’a coaché. Le puzzle relationnel est là. Et surtout, la franchise est enfin crédible. Finales de conférence en 2025, un vrai noyau, un Madison Square Garden plus chaud que jamais.
LeBron à New York ? Ce serait un tremblement de terre culturel. Le genre de move qui transcende le basket. Le storytelling serait fou. Et les Knicks, pour une fois, n’auraient pas besoin de casser leur roster en mille pour tenter le coup.
LeBron, maître de son destin
Le timing est tout. Car pour l’instant, rien n’a été discuté entre LeBron et les Lakers. Pas d’échange. Pas de rachat. Pas même un murmure. Mais dans les entrailles de la ligue, on sent que ça frémit. Les Lakers viennent de se faire sortir par Minnesota au premier tour. L’effectif stagne. Le projet, lui, patine.
Si la saison 2025-26 commence mal ? Si les Lakers s’enfoncent ? LeBron aura le doigt sur le levier nucléaire. Il peut partir. Il peut choisir. Et peu importe l’âge, peu importe les kilomètres, le King reste le King.
En attendant, tout le monde retient son souffle
Cleveland prie. Dallas s’active. New York prépare le tapis rouge. Et la NBA, toute entière, garde un œil sur le feuilleton. Parce qu’un LeBron libre, même à 40 ans passés, c’est une rupture dans l’espace-temps. Une fenêtre minuscule qui pourrait tout changer. Quant à la question : est ce que son fils Bronny, également aux Lakers suivra son paternel Aucune rumeur à ce jour n’a fait son apparition.
Alors on attend. On rêve. Parce qu’un dernier chapitre du King, dans un nouveau décor, ça sonne presque trop beau pour être vrai.
Mais avec LeBron James, tout a toujours été possible.
Crédit photo : Gary A. Vasquez/Presse Sports
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