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NBA : Myles Turner rejoint les Bucks avec un contrat de plus de 100 millions de dollars – un renfort XXL à Milwaukee

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Myles Turner débarque à Milwaukee : un gros coup des Bucks

Personne ne l’avait vraiment vu venir, mais c’est fait : Myles Turner quitte l’Indiana pour s’engager avec les Bucks. Le pivot signe pour quatre ans et 107 millions de dollars, avec une option joueur pour la saison 2028-2029. Un contrat solide, assorti d’un joli bonus de 15 % en cas de trade. Et une vraie surprise sur le marché estival.

Les Pacers ont-ils lâché l’affaire ?

Longtemps considéré comme un pilier à Indiana, Turner semblait destiné à prolonger l’aventure. Mais l’arrivée de ce deal laisse penser que les Pacers n’étaient plus prêts à payer le prix fort — surtout dans un contexte flou autour de Tyrese Haliburton, blessé. La franchise pourrait-elle revoir ses ambitions à la baisse ? Plusieurs insiders le pensent, certains allant même jusqu’à évoquer un virage stratégique.

Les Bucks ne traînent pas

Milwaukee, de son côté, n’a pas hésité. Jon Horst, le GM, a vu une fenêtre s’ouvrir, et il s’y est engouffré. Objectif : solidifier l’axe défensif autour de Giannis Antetokounmpo, avec un big man capable de protéger le cercle, écarter le jeu et faire mal à trois points. Turner coche toutes les cases. Défensivement, c’est un mur : plus de 700 contres depuis 2020, aux côtés de Gobert et Brook Lopez dans cette catégorie. Autant dire qu’il sait faire le ménage sous le cercle.

Les autres équipes à l’affût

Detroit était aussi sur le coup, et certains pensaient que Golden State pourrait tenter un sign-and-trade pour récupérer Turner. Mais Milwaukee a grillé tout le monde. Les Bucks avaient besoin d’un ajustement fort pour relancer une dynamique un peu rouillée. Ils l’ont trouvé. Ce deal pourrait bien rebattre les cartes à l’Est.

Ce que ça change ? Pas mal de choses

Avec Turner dans la raquette, Milwaukee gagne en verticalité, en mobilité défensive, et en spacing. C’est un vrai partenaire complémentaire pour Giannis. Si tout s’aligne, le duo peut faire très mal. Et pour Turner, c’est aussi l’occasion de viser enfin les sommets. À 28 ans, il sort du meilleur basket de sa carrière. À Milwaukee, il ne vient pas pour faire de la figuration.

Crédit visuel : Fadeaway World

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