La quête de longévité de DeMar DeRozan dans la NBA

DeMar DeRozan n’est plus un jeune premier, mais il joue encore comme si sa carrière ne connaissait pas de date de péremption. Son secret ? Deux mots : préparation et récupération.

« Bain de glace ? », lâche-t-il avec un rictus. Ce qui, au départ, ressemblait à un simple délire de vestiaire est devenu un passage obligé. Aujourd’hui, c’est presque sacré.

DeRozan a pigé un truc que beaucoup comprennent trop tard : prendre soin de son corps, c’est prendre soin de sa carrière. Alimentation stricte, sommeil réglé comme une horloge, soins quotidiens… Rien n’est laissé au hasard. « J’ai eu de la chance, j’ai évité les grosses blessures », dit-il. Mais ce n’est pas juste de la chance. C’est de la discipline.

Dans une ligue où le rythme est infernal et les corps tombent comme des mouches, lui continue d’avancer. Pas en forçant, mais en s’adaptant, en anticipant, en préservant. Ce n’est pas de la magie. C’est du taf.

Son approche ? Lucide. Stratégique. Inspirante. Il ne joue pas juste pour scorer, il joue pour durer. Et c’est peut-être ce qui impressionne le plus.

Un titre NBA avant de se retirer ?

Deebo est la preuve vivante que le talent ne suffit pas. Ce qui fait la différence, c’est le sérieux, la constance, l’attention aux détails. C’est cette capacité à se réinventer, à encaisser, à revenir. Résilience, intelligence, professionnalisme.

Bref, DeRozan, c’est une masterclass en gestion de carrière. Un exemple à suivre pour tous ceux qui veulent durer dans le game, et pas juste y faire un tour. La vraie question c’est : “à quoi bon la longévité, si c’est pour ne pas gagner ?”, mais ça c’est un autre débat.

Source : HoopsHype

En savoir plus