Alcaraz décroche un méga contrat avec le sponsor d'Emma Raducanu

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1 Alcaraz et Evian : une collaboration naturelle pour une star montante
2 Evian mise sur un visage frais du tennis mondial
3 Le tennis en quête de nouveaux visages
4 Un courant qui passe avec Emma Raducanu
5 Un duo qui fait parler
6 Alcaraz, ambassadeur d’une nouvelle ère
7 Auteur/autrice

Alcaraz et Evian : une collaboration naturelle pour une star montante

À 22 ans à peine, Carlos Alcaraz avance sur le circuit ATP comme un félin lâché dans une savane en pleine reconquête. Puissant, instinctif, rafraîchissant. Et c’est justement ce dernier mot qui a tapé dans l’œil d’Evian. Dans le sillage de sa victoire étouffante à Roland-Garros contre un Jannik Sinner en plein pic, l’Espagnol vient d’ajouter un nouveau partenaire à sa panoplie déjà bling : une marque d’eau, oui, mais pas n’importe laquelle.

Evian mise sur un visage frais du tennis mondial

Dans la famille des athlètes-icônes, Alcaraz coche toutes les cases. Jeu explosif, sourire désarmant, naturel à toute épreuve. En le recrutant, Evian ne fait pas que capitaliser sur un talent, elle mise sur un **message** : fraîcheur, jeunesse, excellence. Alcaraz rejoint une team déjà clinquante où l’on retrouve Emma Raducanu, Frances Tiafoe et Arthur Fils — des têtes d’affiche de la génération montante.

« L’hydratation, c’est la base, surtout avec l’intensité qu’on met dans chaque match », a glissé Carlos lors de l’annonce. Décontracté mais pro, comme toujours. Avec ce deal, il aligne un peu plus son image sur des valeurs clean, saines, presque lifestyle. Et dans son portfolio déjà bien garni — Nike, Rolex, BMW, Louis Vuitton, Calvin Klein… — ça ajoute une touche plus terre-à-terre, presque poétique.

Le tennis en quête de nouveaux visages

Depuis les premières fissures dans le règne Federer-Nadal-Djokovic, une question hante le circuit : qui pour porter l’héritage ? Qui pour faire vibrer les tribunes, vendre des maillots, marquer les gamins ? Carlos Alcaraz coche la grille du loto à lui tout seul. Pas encore trois Grands Chelems, mais déjà une aura qui déborde les lignes blanches.

Evian, qui s’était attaché les services de Maria Sharapova en son temps, a compris l’enjeu : **être présent là où le futur s’écrit**. Si les montants n’ont pas filtré, les coulisses murmurent un contrat à sept chiffres. Rien d’étonnant. On parle ici d’un joueur qui, à 22 ans, vend déjà des Rolex comme s’il en pleuvait.

Un courant qui passe avec Emma Raducanu

Les réseaux sociaux en ont fait leur miel. Les conférences de presse, leur sous-texte préféré. Alcaraz x Raducanu, ce n’est pas encore un couple people, mais ça y ressemble. Pour l’instant, la version officielle parle d’un simple double mixte à l’US Open, dans un format expérimental la semaine avant le tournoi principal. Une exhibition de luxe, mais aussi un test grandeur nature pour un duo qui fait déjà des étincelles.

Emma, toujours aussi magnétique malgré une carrière en dents de scie depuis son sacre surprise en 2021, semble trouver chez Carlos un terrain de jeu complice. Les deux partagent une énergie, une légèreté, une authenticité qui tranche avec le business ultra calibré du tennis moderne.

Un duo qui fait parler

« Jouer avec Emma, c’est fun. Elle a une vraie vision du jeu, et on rigole bien à l’entraînement », a glissé Alcaraz avec son sourire en coin. De son côté, Raducanu n’a pas résisté à la blague : « C’est moi la boss du duo, qu’on se le dise ! »

Cette dynamique, à la fois complice et compétitive, intrigue autant qu’elle séduit. Elle parle aux jeunes, elle attire les marques. Et elle offre au tennis un storytelling moderne, accessible, sans fioritures. Pas besoin de drama : juste deux talents à la croisée des chemins, qui ont compris que l’image, aujourd’hui, vaut presque autant qu’un ace bien placé.

Alcaraz, ambassadeur d’une nouvelle ère

Ce partenariat avec Evian, ce n’est pas qu’un logo sur un short. C’est une façon de dire que le tennis se transforme. Qu’il n’est plus seulement un sport d’élite aux traditions rigides, mais un terrain de jeu où l’émotion, le style et l’authenticité comptent autant que les statistiques.

Carlos Alcaraz n’est pas seulement le prochain grand nom du circuit. Il est l’un des premiers visages d’un tennis qui veut respirer, vibrer, s’ouvrir. Et s’il le fait une bouteille à la main, tant mieux. Après tout, c’est dans les détails qu’on reconnaît les légendes en devenir.

Crédit photo : Icon Sport

Auteur/autrice

Pierre Boulben

Ancien journaliste sportif passé par L’Équipe et ESPN, passionné de football, de tennis et de sport en général, je dirige depuis deux ans la rédaction de PenseBet. J’y supervise les articles de tendances, les analyses statistiques sur les grandes ligues sportives, ainsi que la couverture de l’actualité au quotidien.

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